Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Alain Julien RUDEFOUCAULD - Ecrivain

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>

Voir les commentaires

RDV Vendredi 7 avril à 18h30 à la Machine à Musique pour une rencontre avec l'auteur à propos de Joseph libéré

RDV Vendredi 7 avril à 18h30 à la Machine à Musique pour une rencontre avec l'auteur à propos de Joseph libéré

Voir les commentaires

Voir les commentaires

JOSEPH LIBERE - Roman - Editions La Dernière goutte

Joseph est né en Martinique. Analphabète, il subit les caprices de sa famille à cause d'un contrat moral qui l'asservit. Chaque nuit, il se réveille en hurlant, hanté par une phrase qui l'obsède mais qu'il ne comprend pas. Mais son destin change quand il apprend à lire, à aimer et à retrouver sa dignité. ©Electre 2017

 

En vente chez votre libraire et ICI

Voir les commentaires

SPONTICULES - Pièce de théâtre publiée chez L'instant théâtral (L'harmattan)

Nous passons notre temps à ne pas vivre au présent qui n'est qu'inconsistance au profit d'un futur qui ne sera jamais là. Alors? Alors il nous faut donc apprendre à capter le monde apparent qui, lui, est le monde que nous vivons. La réalité est ce dont nous sommes témoins. La pièce évoque la rencontre insolite, dans un jardin public désert, d'un écrivain original et d'un prétendu marchand de frites. Philosophe d'occasion et sociologue par défaut, nés dans les temps de guerre et perdus dans le cynisme de notre époque, les deux hommes, pétris d'humour, scrutent le ciel où peut toujours fleurir un champignon atomique. Une tragi-comédie pour deux personnes dans un parc, un texte sur la destruction, le langage et le théâtre.  

 

+ d'info sur http://rudefoucauld.wixsite.com/rudefoucauld/sponticules

Voir les commentaires

Voir les commentaires

En art, il existe deux forme d'hermétisme, l'obscurité et l'égotisme. Les deux limons de la bêtise. 

 

© C.NADIA

Voir les commentaires

"A force de s'effacer on finit par disparaître"

 

"Le problème avec l'inspiration c'est que ça finit toujours par expirer."

 

"On est ce que l'on rêve, on devient ce que l'on fait"

 

© C.NADIA

 

Voir les commentaires

Voir les commentaires

©Marc Ginot
©Marc Ginot

©Marc Ginot

RÉSIDENCE DE CRÉATION SUR LA SCÈNE DU THÉÂTRE

Publié le 23/10/2015 à 03:53, Mis à jour le 23/10/2015 à 08:43

Théâtre - Représentation le 4 novembre

Le 04/11/2015

Séance de travail pour Jacques Allaire et ses acteurs.

image: http://www.ladepeche.fr/images/pictos/zoom.png

Au commencement était le verbe : les mots et le texte d'Alain Julien Rudefoucauld «Le Dernier Contingent»

«J'ai rencontré par hasard ce roman, pris sur la table des nouveautés de la rentrée 2012 chez mon libraire, avant de partir en tournée du spectacle «La Liberté pour quoi faire ?». Je voulais pour agrémenter mon voyage une lecture «sans destination», pour le plaisir», explique Jacques Allaire. Et puis le verbe a percuté et résonné dans l'esprit du metteur en scène. Plus tard, comme à son habitude de création, il a laissé les sensations prendre la place des mots, et les sensations ont donné naissance aux dessins qui seront les images de la pièce qui sera présentée sur la scène des Trois-Ponts le mardi 4 novembre. D'ici là, toute l'équipe travaille d'arrache-pied, tous les jours de ces vacances, dans le cadre de la résidence de création soutenue par le théâtre. Après les premières esquisses, il a fallu trouver les comédiens, dénichés aux quatre coins de France : six jeunes acteurs aussi différents que la jeunesse de notre pays et qui incarnent avec puissance les six adolescents du roman. Des jeunes déjà bien cabossés par la vie, massacrés par la famille, la société, les institutions, victimes de la guerre invisible que l'époque mène contre ses propres enfants. Leurs voix se succèdent, se superposent et charrient la violence de notre époque, l'impuissance de la justice, de la police, des éducateurs, la démission des parents. Le discours est sombre et semble renforcé par la pénombre qui règne sur la scène où une immense cage occupe l'espace comme la prison où la société enferme les rêves de ses jeunes. Les dialogues sont crus et brutaux, l'ambiance sonore est entêtante et pourtant, ces jeunes perdus sont lumineux, leurs corps éblouissants de vie et le travail de Jacques Allaire nous invitent à un vertigineux voyage au bout de la nuit. Comme il le dit avec ferveur : «Le théâtre doit être une expérience ! Pour les acteurs, pour les spectateurs» ! On ne va pas au théâtre, on le vit ! Alors laissez vous tenter par l'expérience, mardi 4 novembre, à 20 h 30 !

La Dépêche du Midi


En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2015/10/23/2203252-residence-de-creation-sur-la-scene-du-theatre.html#twmRRPxZKWcCUvlT.99

Voir les commentaires

<< < 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 > >>
Haut

Hébergé par Overblog