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Alain Julien RUDEFOUCAULD - Ecrivain

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Bat' Le veilleur dans Choisir et lire

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BAT' LE VEILLEUR - ROMAN

Victor, surnommé Bat’ pour son art de la batte, est perturbé par le retour de son père, parti quatre ans. En temps ordinaire, comme Bat’ a des crises, il est placé dans un foyer, mais au retour du père il est en vacances d’hiver avec sa petite sœur à Gourette, station de ski où leur mère travaille à la poste. La séparation des parents a été rude. La mère a fait une tentative de suicide. Le retour du mari est mal vécu par elle, les enfants et les anciens collègues de ce moniteur de ski peu fiable.
L’attitude du père, sans travail, colérique, en soins et adepte de la sieste, suscite la révolte. Bat’ envisage, avec sa sœur, de le supprimer à coups de batte pendant son sommeil. Cet acte fatidique doit s’accomplir alors que la mère veut confier Victor à des spécialistes. La fin de l’histoire sera moins tragique qu’elle aurait pu l’être.
On reste toutefois sous l’emprise de cet enfant au comportement bizarre en tout point et pourtant très proche de la vérité humaine.

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Le choix de l’éditeur annonce la tonalité : bienvenue dans la société du spectacle, dans l’esprit du temps, quand la quatrième de couverture situe l’histoire « Au renouveau du fascisme ». Les solides références de l’auteur (romancier, dramaturge) laissent présager du meilleur, en particulier ses soutiens : l’Aide à l’écriture du CNL et le Second Prix Littéraire International Indépendant. C’est de cela qu’il s’agit : un roman indé’, qui se démarque. Ce que l’on retient par dessus-tout, et qui était une gageure à relever : « à la mémoire de Dino Buzzati ». Pari réussi, au-delà de toute espérance.

 

Le résumé laisse présager le pire, de cette société qui n’en a jamais trop, de se bâfrer de spectaculaire : « Nathalie a ouvert la braguette de papa. Papa n’a pas bronché. Chapeau, papa. Madame est malheureuse pour vous, a dit Nathalie, alors elle a pensé que peut-être une autre femme pourrait vous soulager ». Un extrait bien choisi, qui attise la curiosité forcément. Qui ne révèle rien d’une  intrigue, cependant, oscillant entre pathétique et tendresse.

 

C’est l’histoire d’un homme qui s’est laissé aller, jusqu’à peser 480 kilos. Il s’expose comme un animal de foire, pour les curieux malsains, dans un Peep-Show, à Vienne. Si je t'écris ce soir de Vienne / J'aimerais bien que tu comprennes / Que j'ai choisi l'absence / Comme dernière chance… chante Barbara qui savait, déjà.

Son numéro est rôdé, coordonné avec Nathalie et Günther. Les gens se branlent devant la monstruosité exposée, excités d’être écœurés. Mais un soir, c’est le drame : Jean roule sur sa mère et l’étouffe. Pendant qu’il attend les secours, son esprit, demeuré étrangement lucide dans ces circonstances effroyables, recompose les événements qui ont fait de lui cette chose monstrueuse et meurtrière. Ce qu’il est légitime de se demander, c’est que vient faire sa mère d’un seul coup à Vienne, dans ce Peep-Show ? Une mère-araignée, comme celle de Louise Bourgeois. Entre deux salves de douleur, il se souvient. Tantôt l’horreur, tantôt la joie : « Je ne devrais pas me faire rigoler. Après j’ai mal. Avoir mal tout seul, sans aucun secours, ça n’est pas drôle. La douleur, ou bien l’on s’en passe ou bien l’on se soumet. Dans les deux cas, c’est le déshonneur. On perdu sur toute la ligne. On n’a pas tenu et puis c’est tout. » ; « J’ai quand même l’air stupide, dans mon Peep-Show, avachi sur ma mère, avec mes exercices de respiration –un vrai phoque ».

 

Une écriture nerveuse et une intrigue rythmée que ne renierait pas Buzzati. Un sens de l’observation acéré, presque gênant et pourtant jamais incommodant. Un équilibre parfait entre le pire et le meilleur, entre l’inconcevable et le vraisemblable, entre le burlesque et le tragique. Lire ce roman m’a rappelé un certain « Monsieur Cagole » de Carole Rouland(éditions Archimbaud/Séguier, avec une préface de Jean-Pierre Mocky -2006). Il était question d’un cirque et, derrière l’apparente monstruosité, l'on découvrait l’affection sincère quand on a perdu toute estime de soi. Une main tendue. Il en suffit d’une, parfois, pour sauver une existence délétère. Parfois ce n’est qu’illusoire, le temps d’un Peep-Show sordide.

 

Rien de glauque, de risible ou de ridicule. Ce serait plutôt pathétique. Pas l’histoire et le délitement de Monsieur Jean, jusqu’à terminer sa vie dans ce Peep-Show vulgaire. Non, l’absurdité, la grossièreté, résident dans cette complaisance des gens à vouloir se confronter à la différence, à se complaire dans la bouffonnerie apparente, au grotesque, une forme de bestialité inconcevable.

 

Quelques truculences verbales : « Quand les défauts sont au niveau de la qualité, ce n’est plus de la morale, c’est de l’éthique » ; « C’est pas tant que je sois pudique, mais l’impudeur ca se décide » ; « Ce serait plutôt la barbaque que j’me popeye. Mais ça aussi c’est fini ; bientôt je ne pourrai même plus être viandard : y’a l’urée qui me taquine, la goutte qui m’arthrite en beauté et les hémorroïdes qui me ratissent le tréfonds. »D'autres  truculences de situation vous attendent.

 

Peep-Show, Alain Julien Rudefoucauld, L’esprit du temps. 205 pages, 16 euros.

 

Ça vient de sortir, si l’on ne devait en retenir qu’un, en cette période de rentrée littéraire. Le plus original, qui dénonce le grotesque avec une humanité infinie et une poésie inattendue. Point de pitié, de compassion ni de morgue, pas davantage de condescendance ou d’empathie forcée. Une vraie tendresse, qui rappelle à quel point le goût des autres est nécessaire.

 

http://isabelle.kevorkian.over-blog.com/2017/08/peep-show-alain-julien-rudefoucauld.html

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Joseph libéré - article dans Le vif

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Roman

Le sexe joue sa comédie aux confins de la vie et de la mort. Ce pourquoi la pulsion sexuelle est aiguë pour ceux dont la vie est menacée. Peep-Show, le nouveau roman d’Alain Julien Rudefoucauld nous introduit dans un monde parallèle celui de la rencontre du sexe et de l’obésité, du refoulement et de l’excitation : « Nathalie a ouvert la braguette de papa. Papa n’a pas bronché. Chapeau, papa. « Madame est malheureuse pour vous, a dit Nathalie, alors elle a pensé que peut-être une autre femme pourrait vous soulager. » »

Dans le monde de Peep-Show, un homme obèse est aux prises avec son histoire, avec son destin : « Ah, j’y vois un peu mieux là. C’est moins trouble. Si, si, c’est moins trouble. Tout de même curieux ces variations visuelles. Ça ne vient pourtant pas de l’éclairage. Nathalie laisse les cabines toujours allumées, et les veilleuses sont réglées une fois pour toutes. À moins que quelqu’un ne tripote les variateurs. Quelqu’un, là-bas, vers le dernier hublot du Peep-Show. Comme ça, tête basse, je n’y vois pas grand chose. Tant pis, je vais relever la tête et bloquer, pour examiner. Ben non, rien d’autre que quarante cabines avec leurs veilleuses autour de moi – sacrée scénographie. »

À Vienne, au renouveau du fascisme, un homme de 480 kilos, exposé dans un Peep-Show, a chuté de son lit sur sa mère. Par ce geste, il est convaincu d’avoir accompli sa vengeance. Près de mourir, il recherche inlassablement les évènements de sa vie qui l’ont conduit dans son Peep-Show. Dans un récit parfois provocant, A. J. Rudefoucauld nous révèle, par son humour noir, les clés qui échappent au personnage. Peep-Show a reçu le Second Prix Littéraire International Indépendant 2015, à la mémoire de Dino Buzzati.

*Peep-Show d’Alain Julien Rudefoucauld, ed. L’Esprit du Temps, vient de paraître, 17/8/2017

 

http://www.sexologie.blog.lemonde.fr/

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PARCOURS DE L'ECRIVAIN

 

Alain Julien Rudefoucauld est né en Algérie. Suite à l'exode, il s’installe en Aquitaine où il suit des études secondaires puis supérieures tout en commençant à écrire pour le théâtre.

Après avoir mené des activités de recherches jusqu’au Doctorat, et des publications dans des domaines touchant en général aux sciences humaines, il revient à l'écriture par les scénarii, le roman, le théâtre et la poésie, à la composition par des musiques de scène. C'est le théâtre qui lui permet de faire connaître ses écrits, et qui sont ses premières publications littéraires. Il s’atèle particulièrement à une dramaturgie des limites. Plusieurs pièces ont été créées. L’auteur reçoit des bourses nationales d’encouragement et d'aide à l’écriture. Membre sociétaire de la Société des gens de lettres et de la SACD, il a bénéficié d’une résidence d’écriture à La Chartreuse lez Avignon. Ses pièces sont inscrites au répertoire national. Et il travaille régulièrement en collaboration directe avec des compagnies théâtrales d’Aquitaine. Il a mis en scènes deux de ses textes. L'ensemble de son oeuvre théâtrale comprend actuellement une cinquantaine de textes. Maren Sell publie son premier roman « Autonomie d’un meurtre » chez Calmann Lévy. Denis Roche publie « J’irai seul » aux Editions du Seuil. Son troisième roman "Le dernier contingent" est édité chez Tristram. Pour ce roman, il reçoit le prix littéraire "France culture / Télérama" (2012). En 2013, les éditions Tristram publient "Une si lente obscurité" ainsi qu'une réédition du "Dernier contingent" en collection souple. "Une si lente obscurité" reçoit le prix de la page 111 (Radio Nova). Rudefoucauld est lauréat de l'Aide à la Création du Centre National du Théâtre pour sa pièce Sponticules en 2014 et reçoit une bourse de l'OARA pour Socrate Process en 2015. 
2017 voit la parution de Sponticules et de deux nouveaux romans, Joseph libéré aux éditions de La Dernière goutte et Peep-show chez l'Esprit du temps.

 

OUVRAGES PUBLIES

ROMANS

Peep-show, l'Esprit du temps, 2017.(Vice lauréat du Prix Dino Buzzati PLII 2015)

Joseph libéré, La dernière goutte, 2017

Une si lente obscurité, Tristram, 2013

Le dernier contingent, Tristram, 2012, réédition coll souple, 2013

J’irai seul, Collection Fiction & Cie, Le Seuil, 2003

Autonomie d’un meurtre, Calmann Lévy, 1998, réédition L’Harmattan, 2009

PIECES DE THEÂTRE

Sponticules, L'Harmattan, 2017

Êtra, suivie de Variations conjugales, L'Harmattan, 2015

Sophie Coming out, L'Harmattan, 2010

C’est ici que je suis, L’Harmattan, 2009 (recueil de pièces)

Mémoire de chaireL’Harmattan, 2009 (recueil de pièces)

L’ombre et le pinceau, Collection L’instant théâtral, L’Harmattan, 2007

L’ordre et le silence, L’esprit du temps, 2004

Êtra ou la clarté de l’éphémère, L’Esprit du temps, 1999

Dancing, L’esprit du temps, 1998

Dutzoll-frontier, L’esprit du temps, 1997

Sacrifice, L’esprit du temps, 1996

Fatsflat, L’esprit du temps, 1996

En faire quoi, L’esprit du temps, 1991

 

PARCOURS THEÂTRAL ET LITTERAIRE

-Août 1990 : Lecture publique à Avignon des pièces Partition, En faire quoi et Au fond de la mer pour La Compagnie des autres.

 

-Avril 1991 : Création de Au fond de la mer (« Biscotte et Chocolat ») par la Compagnie des Autres à Carpentras.

 

-Mai 1991 : Création de En faire quoi, dans le cadre du Festival Festhéa, mise en scène de Patrick Brun – Premier prix au concours aquitain de Festhéa.

 

-Novembre 1991 : Publication de la pièce de théâtre En Faire Quoi par le Centre Régional des Lettres et les éditions l'Esprit du Temps.

-1992 : composition musicale Peter Pan (ballet) mise en scène de Jean-Manuel Florensa et chorégraphie de Geneviève Florensa

 

-1991-1993 : Composition de Musiques de scènes : Christophe Colomb, La maison jaune Van Gogh, Antonin Artaud.  

 

-Novembre 1993 : Création de la pièce de théâtre Fatsflat, monologue, par leThéâtre des Tafurs au Festival Sigma de Bordeaux.

 

-Mars 1994 : Création de la pièce de théâtre En Faire Quoi par le Théâtre de Feu à Mont de Marsan, mise en scène par Jean-Manuel Florensa.

 

-Août 1994 : Lecture du triptyque Sacrifice comprenant le Mouchoir, le Scalpel, les Orties au Festival de Sarlat par l’auteur et la compagnie Les marches de l’Été.

 

-Juillet 1995 : Bourse d'encouragement attribuée par la Direction du Théâtre et des Spectacles pour la pièce de théâtre Sacrifice. Inscription de Sacrifice au répertoire de la Direction du Théâtre et des Spectacles.

 

-1996 : Publication des pièces de théâtre Fatsflat et Sacrifice par L’Esprit du Temps.

 

-Avril 1997 : Lecture et mise en espace de la pièce Dancing par le Théâtre des Tafurs au Molière Scène d’Aquitaine dans le cadre de l’opération « Réseaux de conduite » coproduction C.D.N. Bordeaux, O.A.R.A, Tafurs.

 

-Avril - Mai 1997 : Création de Le Scalpel par Jean-Luc Terrade à la Manufacture des Chaussures à Bordeaux (TNT).

 

-Juillet 1997 : Publication de la pièce de théâtre Dancing par Script / Rébus dans le cadre de Réseaux de conduite.

 

-Août 1997 : Création de Les Orties par Jean- Luc Terrade au Festival de Théâtre de Blaye (Les chantiers de Blaye).

 

-Avril 1998 : Bourse d’encouragement du Centre National du Livre.

-Septembre 1998 

- Publication du roman Autonomie d’un meurtre aux éditions Calmann-Lévy.

- Lecture de L’Ordre et le Silence au Festival de Théâtre de Blaye par le Théâtre des Tafurs.

-Octobre 1998 : Publication de la pièce de théâtre Dancing aux éditions l’Esprit du Temps.

-Mai 1999 : Aide à l’écriture pour Irelemon (L’ombre et le pinceau) par la Direction de la Musique, de la Danse, du Théâtre et des Spectacles.

 

-Mai 1999 : Attribution d’une résidence pour l’écriture d’Irelemon à la Chartreuse à Villeneuve Les Avignon

 

-Juillet 1999 : Lecture publique de L’ordre et le silence au Théâtre Gérard Philippe de Saint-Denis par le Théâtre des Tafurs.

 

-Septembre 1999 : Création du Triptyque Sacrifice : Le mouchoir, Le scalpel, Les orties par Jean-Luc Terrade au TNT de Bordeaux.

  

-Août 2002 : Lecture publique de Transitions et création de Pok et Mon (pièce courte)

 

-Février 2002 : Lecture publique de Êtra ou la Clarté de l’éphémère au Théâtre Poème de Bruxelles accueilli par Monique Dorcel.

 

-Juin 2002 : Lecture publique de Ache (monologue)

 

-Janvier 2003 : Publication du roman J’irai seul aux Editions du Seuil, par Denis Roche (Fiction et Cie)

 

-Avril 2003 : Bourse du Centre national du livre, catégorie Roman.

 

-Janvier 2004 : Création de la pièce de théâtre Midi, pour en finir, dans le cadre de 30’30’’- Festival du court organisé par Les Marches de l’été. Mise en scène d’A.J. Rudefoucauld

 

-Mai 2004 : Publication de la pièce de théâtre L’ordre et le silence aux Editions l’Esprit du Temps

 

-Eté 2004 : Création de la pièce de théâtre L’ordre et le Silence par le Théâtre des Tafurs, dirigé par François Mauget au Festival de Blaye, puis au TNT début 2005

 

-Eté 2004 : Création de l’ Eposken L’ordre et le Silence, dirigé par François Mauget, au Festival de Blaye.

 

-Octobre 2005 : Lecture publique d’un recueil de pièces courtes dont De africa, Excise, Frères, My God, La Trente deuxième, Bingo, le Marieur, Projections, Combats, Eux, Eléments… à la Librairie La Machine à Lire à Bordeaux, dans le cadre de Lire en fête. (ARPEL)

 

-Mars 2007 : Création de la pièce de théâtre De Africa (tableaux I à III) lors du festival « Allons au texte » accueilli par le théâtre Fémina de Bordeaux.

 

-Novembre 2007 : Publication de la pièce de théâtre L'ombre et le pinceau aux éditions l'Harmattan. Mise en espace par le Conservatoire de théâtre au CDN de Nice.

 

-Mai 2008 : Création de la pièce de théâtre La piste de l’Oregon lors du Festival « Allons au texte » accueilli par le théâtre Fémina de Bordeaux. Mise en scène d’A.J.Rudefoucauld.

 

-Octobre 2008 : Création de DRACULA ou LA NON-MORT au TNBA de Bordeaux du 8 au 16 octobre Co-adaptation théâtrale de Dracula de Stocker avec Yvan Blanloeil.

 

-Avril 2009 : Publication du roman Autonomie d’un meurtre, réédition aux éditions L’Harmattan.

 

-Août 2009 : Deux recueils de pièces de théâtre

     Mémoire de Chair (Fatsflat-Ache) aux éditions L’Harmattan

     C’est ici que je suis (Combat – Une absence- Etat des lieux – Transition) aux éditions L’Harmattan

 

-Novembre 2009 : Création de la musique de scène pour Variations sur le canard mise en scène par Philippe Thiébaut – Représentation aux Halles des Chartrons à Bordeaux.

 

-Juin 2010 : Dans le cadre du Festival « SUR LE VIF ! » organisé par l’Atelier de Mécanique Générale Contemporaine à Pessac

        Création de la pièce de théâtre Sophie – Coming-out, Mise en scène Jean-philippe Ibos

        Lectures publiques de Variations conjugales, Enfin seules, Bingo, Enquête sur la mort de Paquito, Extrait de Dancing, Extrait de Dracula ou la non-mort.

        Lecture publique d'un extrait de Sponticules dans le cadre de la conférence des auteurs invités.

 

-Mai 2011: Dans le cadre de la seconde édition du Festival de théâtre "SUR LE VIF" de l'Atelier de Mécanique Générale Contemporaine.
        Reprise de la création Sophie - Coming out
 mise en scène par Jean-Philippe Ibos, régisseur lumière Cédric Queau.

     Lecture publique de la pièce Sponticules

     Lecture publique d'extraits de la pièce "Les Liquidateurs" (en cours d'écriture)

 

-Janvier 2012: Publication du roman Le dernier contingent aux Editions Tristram.

 

-Mars 2012: Lauréat du prix France culture / Télérama pour le Dernier contingent 

 

-Août 2013: Publication du roman Une si lente obscurité aux Editions Tristram.

 

-Novembre 2013: Prix de la page 111 - Radio Nova pour Une si lente obscurité.

 

-Novembre 2013: "Nuit blanche au théâtre de la tête noire" - 40 comédiens lisent intégralement sur scène Le dernier contingent. Mise en jeu: Patrice DOUCHET

 

-Novembre 2013: Lauréat de l'aide à la création du Centre national du théâtre pour Sponticules.

 

-Septembre 2014: Création de Etra ou la clarté de l'éphémère par la Cie des pas perdus (Saint-Quentin - Picardie)

 

- Décembre 2014: Création de Sponticules par les Tarfurs - Mise en scène Jean Pierre NERCAM - Théâtre du pont tournant à Bordeaux. 

-Novembre 2015: Peep-show obtient le second prix Dino Buzzati: Prix Littéraire Internationnal Indépendant dans la catégorie Roman inédit.

- Juillet 2015: Reprise de Etrâ ou la clarté de l'éphémère par la Cie des pas perdus (Avignon- Festival OFF) - Parution de Etrâ suivie de Variation conjugale. 

-Janvier 2017: Publication de Sponticules

-Mars 2017: Publication du roman Joseph libéré aux éditions La dernière goutte. 

-Août 2017: Publication du roman Peep-show aux Editions L'esprit du temps.

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PEEP-SHOW - Parution en Août 2017

Au renouveau du fascisme, un homme de 480 kilos, exposé dans un Peep-Show à Vienne, a chuté de son lit sur sa mère. Par ce geste, il est convaincu d’avoir accompli sa vengeance. Près de mourir, il recherche inlassablement les évènements de sa vie qui l’ont conduit là, dans son Peep-Show. Dans un récit parfois provocant, A. J. Rudefoucauld nous révèle, par son humour noir, les clés qui échappent au personnage.

Peep-Show a reçu l’Aide à l’écriture du Centre National du Livre et le Second Prix Littéraire International Indépendant 2015, à la mémoire de Dino Buzzati. Dramaturge et romancier, Alain Julien Rudefoucauld a publié de nombreux ouvrages et pièces de théâtre dont J’irai seul (Fiction & Co, Seuil, 2003), Le Dernier contingent (Tristram, 2012, prix France Culture - Télérama 2012), Sponticules (Lauréat Aide à la Création CNT 2013), Une si lente obscurité (Tristram , 2013 ; prix Page 111 de Radio Nova) et récemment Joseph Libéré (La Dernière Goutte, 2017).

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Sur Radio Nova, Alain Julien Rudefoucauld est invité à décliner le programme soutenu par son nouveau roman "Joseph libéré"

 

Petite vidéo en attendant le podcast

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